
Quand la majorité revend, en chantonnant, des chambres, antérieurement louées comme des logements indécents, et espère que le nouveau propriétaire privé en fasse des logements dignes...
La métropole du Grand Paris a mené un diagnostic sur le bruit dans la métropole. La majorité municipale s’est gardé, lors du conseil municipal du 20 juin 2018, de prévenir ses auteurs qu’ils ont omis d’intégrer les nuisances liées à l’aérodrome Vélizy-Villacoublay. Cherche-t-elle à préserver ses investissements au mépris de la qualité de vie (voire la santé) des futurs Robinsonnais ?
Stephen Hawkins, mort le mois dernier, a démontré qu’un peu de matière s’échappe des trous noirs, un peu d’information qui donne une température à ces objets mystérieux. Il aurait bien été en peine de donner une température au conseil municipal du Plessis-Robinson du 15 mars tant aucune information n’en sortait ! La meilleure preuve a été donnée par la délibération consacrée au bail à construction offert (ou plutôt bradé) au Racing 92.
Le conseil municipal du 19 décembre 2017 illustre pleinement la frénésie bâtisseuse de la majorité municipale. Cet appétit de promotion immobilière se traduit par une multitude de projets qui donne un sentiment de jeu de Monopoly entre amis, sans vision globale des impacts sur notre commune.
A une semaine du débat sur le non cumul des mandats, l’Express fait le palmarès des cumuls...
Le maire a pu à nouveau faire la démonstration de ce qu’il appelle démocratie lors du conseil municipal du 4 Juillet 2013. S’emportant devant les questions et remarques des élus de l’opposition, celui-ci s’est tout bonnement mis à les insulter, sans oublier au passage les représentants d’associations de quartier.
Le PS, le PC, EELV, le MODEM et deux associations de quartier, PLESSIS et Le Comité de quartier le Chateaubriand, se sont associés pour produire un communiqué de presse.
Le procureur de Nanterre, P. Courroye, vient d’ouvrir une enquête préliminaire sur ce qu’il convient d’appeler maintenant "la nouvelle affaire Pemezec". Dans le même temps, l’enquête de Médiapart a progressé et dévoile les petits secrets du maire. Se sentant sans doute acculé, le maire a violemment attaqué les élus de l’opposition lors du dernier conseil municipal. En effet, ceux-ci avaient eu l’outrecuidance de voter contre une délibération demandant une protection du maire de la part de la commune, en prenant en charge les éventuels frais de justice.
C’est dans l’opacité la plus totale que le projet dit de "Pôle culturel" se monte. Le maire peut bien pleurnicher dans ses communications sur "les coups bas" que lui assénerait l’opposition, la réalité des choses c’est qu’il se conduit en seigneur local et que l’opposition en est réduite à conjecturer à longueur d’année sur la nature des projets qui se montent. Après :
le transfert de terrains de sport à un organisme privé ;
l’affaire de l’Ermitage ;
voici donc l’"affaire" du pôle culturel qui ressemble de plus en plus à un scandale.
Sur tous ces sujets, le maire cache en permanence la réalité des choses à ses administrés et se sert du journal municipal non pas pour communiquer en toute transparence mais pour faire de la propagande. Cette absence de transparence et de débat fait bien sûr naître toutes les conjectures et soupçons de toutes natures.
Dénoncer cette manière de régenter la ville et dévoiler l’envers du décor, voilà ce que le maire appelle les "coups bas".
Suite à ses propos tenus en conseil municipal du 16 décembre 2009, P. Pemezec a été condamné par le Tribunal correctionnel de Nanterre pour injures publiques à l’encontre de Benoît Marquaille. Ces propos avaient été tenus en réponse à une question écrite relative à la ville et à l’action municipale concernant les mesures prises suite à un grave accident survenu a la police municipale.
Nous disposons maintenant d’une nouvelle rivière, avec ses boucles, ses méandres, son parcours sinueux, des cascades, des fleurs et plantes aquatiques, et même des poissons, des petits ponts de bois, comme dans la chanson, des barques, fixes, pour le décor, le tout lové au milieu d’appartements de standing. Au fait combien cela coûte-t-il ?
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